Horace
reprend le thème, obsédant chez Corneille, de l’honneur : celui qui
triomphe dans le combat entre les trois champions de Rome et les trois
champions d’Albe, le Romain Horace a employé la ruse et a tué sa sœur ;
il a fait triompher l’intérêt collectif, mais sans scrupule. Il est un
Rodrigue assez immoral, en qui son père – le vieil Horace – et
l’empereur Tulle vont finalement approuver les vertus liées au courage.
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