Cinna
s’interroge doublement sur le pouvoir à travers les tourments d’un
empereur, Auguste, qui affronte successivement un conflit intérieur et
un conflit extérieur : il se demande s’il doit abandonner le trône, puis
le conserve ; puis il découvre que son ami Cinna mène une conspiration
contre lui dans le but de l’assassiner. Il pardonne. Magnanimité
désintéressée ou calculée ? L’impératrice et Auguste lui-même pensent
que ce geste de pardon pourra apporter une gloire éternelle à celui qui
en est l’auteur.
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